Age of Wakfu
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 La Griffe blanche de Bonta.

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2 participants
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Aïlodie

Aïlodie


Messages : 26
Date d'inscription : 21/04/2012
Age : 32

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MessageSujet: La Griffe blanche de Bonta.   La Griffe blanche de Bonta. EmptySam 21 Avr - 4:41

{ Votre Personnage }

~Votre Nom ~ : Mélandrile

~Votre Prénom ~ : Aïlodie

~Votre Âge ~ : 20 ans

~Votre Familier ~ : (décrivez-le un peu, donnez son nom, surnom s'il y a, sexe, aptitudes.... 2 lignes mini) Quarrand, corbac messager qui me livre mes ordres de missions. Il n’a aucune aptitude mise à part celle de croasser dans les oreilles des gens. Il affectionne particulièrement mon épaulette lorsqu’il est au repos, s’en servant de perchoir. Je le laisse s’y poser à sa guise, même s’il l’égratigne de ses serres à chaque fois.

~Vos Préférences ~ : Tant un homme qu’une femme peuvent être attirant et attirante. Suffit de trouver le bon ou la bonne.

~Vos Fantasmes ~ : Je ne saurais l’expliquer avec des mots.

~Votre Classe ~ : (Vous pouvez choisir entre toutes les classes de Dofus et de Wakfu, y compris les Éliatropes.) Iop.

~Quel rang aimeriez-vous ? ~ : (merci de le mettre en code et en normal, ajoutez-y une petite icône, max 50x50, qui représentera votre rang.) La griffe blanche de Bonta.

~Votre Description Physique ~ : (Environ 6 lignes)
Je ne me suis jamais décrit de ma vie, car on ne me l’a jamais demander. Si je me place devant un miroir et que je laisse ma lance de côté, je vois une femme, une grande femme, peut-être un mètre quatre-vingt. C’est grand pour une jeune demoiselle, probablement trop… Passons à ce qui recouvre mon corps. Sur le haut de mon torse, on y trouve une armure, couvrant ma poitrine et munie d’un gorgerin cachant souvent en majeur partie le bas de mon visage. Je ne le baisse que pour parler, le reste du temps il est relevé. Mon bras droit est démuni de toute pièce d’équipement lourd, n’ayant que des bandages recouvrant mon avant-bras et ma main, m’évitant ainsi de me prendre des échardes lorsque je manie ma lance pour n’importe quelle raison. En revanche, mon bras gauche lui, est recouvert presque entièrement de pièces d’armure. Une longue épaulette en demi-cylindre couvrant mon épaule et remontant à la hauteur de ma tête, former d’une autre pièce de métal recouvrant mon biceps. Ma main est recouverte d’un long gant en cuir, me protégeant ainsi de la lourde pièce d’équipement qui est apposé sur mon avant-bras, pièce qui arbore fièrement la croix symbolique d’Iop. Je n’ai rien qui recouvre mon ventre, ce qui explique les quelques cicatrices qui le recouvre. Je trouve qu’avoir une armure à ce niveau brime la liberté de mouvements et la flexibilité. Dans mes pieds se trouve d’épaisses bottes en cuir recouverte d’une pièce de métal au talon et au bout. Le bas de mon corps est recouvert d’environ cinq ou six couche de tissue, toute de couleur rougeâtre : Ma jupe fendue sur les deux côtés, le long de mes jambes; Une seconde jupe, mais cette fois-ci, fendue devant et derrière; Deux larges bandelettes de tissues descendant le long de mes hanches, arborant sur leur long la croix d’Iop; Une troisième jupe, cette fois-ci, uniquement fendue sur le devant et pour finir, une large bande de tissue sur le devant, montrant ainsi le symbole de mon Clan. Tout ce tissue est tenue fermement à ma taille et à mon bassin par une épaisse ceinture, dont y est attaché d’autre pièce d’armure, couvrant mes hanches, de trois plaques de métal chaque.

Sachant que je suis seule dans cette chambre et qu’elle est verrouiller, je peux me permettre de retirer tout l’attiraille qui me recouvre et ainsi que retrouver nue devant le miroir, miroir qui me lance le reflet d’une guerrière ayant été maintes fois blessé, dû à toutes les cicatrices qui recouvre mon corps. Je crois que je n’ai pas assez de doigts pour les compter tellement j’en ai. Les plus apparentes sont celles sur mon visage, qui passe sur mon nez et arrive en dessous de mes yeux. Une sur mon ventre, en forme de « x », l’autre sur mon flanc gauche, une dans mon dos et j’en passe. Vestige d’un entrainement vigoureux ou des quelques combats que j’ai fait, elles vont sans cesse me rappeler qu’être guerrière, c’est de risquer sa vie au quotidien. Ce qui est le plus étrange chez moi, se sont mes cheveux d’un gris argent, moyennement court, toujours attachés derrière ma tête en un petit panache piquant, ainsi que mes yeux d’un bleu ciel frôlant le cyan, donnant à mon visage une apparence un peu surnaturel. Par la suite… ma poitrine. Je n’avais pas de besoin d’en avoir une aussi grosse, ferme et ornée de petit tétons roses, elle me gêne plus qu’autre chose. Je suis obligée de la bander avec des bandages lors de mes entraînement sans mon armure pour ne pas qu’elle m’encombre. S’en est presque gênant, surtout lorsque j’ai dû passer chez l’armurier pour qu’il forge mon armure pour mon torse… « Je dois prendre les mesures » qu’il disait. Franchement. Bref, je peux percevoir un corps relativement mince, mais avec une bonne musculature, résultat de mes entraînements intensif au fils des années. « Bien sculpté » est probablement l’expression que j’utiliserais pour le décrire. Malgré tout, ce que j’aime le plus, c’est qu’il garde toute féminité malgré les quelques muscles seyant par-ci et par-là. Mise à part lorsque je regarde plus bas, au niveau de mon entre-jambe. À première vue, je ne peux pas dire que c’est féminin, au contraire, il n’y a rien de plus masculin que le sexe d’un homme. Je n’ai jamais su pourquoi j’ai hérité de ça, personne ne le sait (Pour les personnes qui savent ce secret) et probablement que je ne le saurais jamais. Bref, au-dessus de mon intimité bien féminine trône fièrement un membre virile, sans testicules, et de grosseur qui selon moi, ce trouve dans la moyenne. Une chance… Déjà que j’avais une poitrine encombrante, je n’imagine pas avoir un sexe masculin encore plus long et plus gros, ça aurait été invivable… Pour le moment, ce ne fût pas un problème, en espérant que ça ne change pas pour l’avenir. Si je me retourne devant ce miroir, je peux voir mes fesses, un peu rebondie, mais tout de même ferme. Je ne sais pas ce que les hommes préfèrent… Quelque chose de moelleux? Ou d’un peu plus dur au touché? Une autre question dont je préfère probablement évitez de savoir la réponse. Dans l’ensemble, je ne me trouve pas si mal, même belle je dirais. Je dois certainement avoir mon charme propre. Je ne vois pas en quoi me trouver laide m’avancerais… c’est pourquoi j’ai décidé de me trouver jolie.

[ Mon dessin suivra prochainement pour les plus visuel. ]

~Votre Description Psychologique ~ : (Environ 6 lignes)
Je trouve difficile de me décrire de manière psychologique. C’est peut-être car je suis une Iop et que ce genre de description aie un rapport avec la tête, car tout le monde dit que les Iop sont des êtres stupides qui n’ont que du muscles. Je ne m’aventurerai pas sur le sujet. Je ne crois pas que la gêne fasse partie de mon être. Parfois je peux avoir un langage assez crue, je dois l’avouer, mais je n’ai nullement peur des mots. Attention, cru ne veux pas dire vulgaire. Je suis très polie à ce sujet, car j’ai été bien élevé et que je ne souhaite pas m’attirer des ennuis pour avoir dit des phrases grossières. Or, j’avoue qu’une fois de temps en temps, lorsque ma patience a atteint sa limite (Ma patience dépend de mon humeur), je me permets d’user de quelques jurons, jurons que j’essaie d’étouffé du mieux que je le peux, selon la situation. Je dirais que j’ai la mauvaise manie d’arborer un visage froid et droit, comme la posture que j’ai en tout temps. Ça me donne une allure forte et inébranlable, ce qui selon ma mère, est une obligation pour toute guerrière qui se respecte. Malgré tout, je sais me montré chaleureuse et gentille, car je ne souhaite pas me retrouver isolé de tout contact humain par mon attitude glaciale. La chose qui me tient le plus à cœur, comme tout bon Iop, c’est l’honneur. Je suis réputer pour en avoir énormément, voir trop même. Je n’accepterai jamais de me faire dire que je n’ai pas d’honneur, ce qui est la pire insulte à mes oreilles et à mon Dieu. Ces paroles ont déjà causé la mort d’une personne. Sinon, pour le reste, je me considère comme étant dans la moyenne. Je ne suis ni calme, ni impulsive, je suis dans le juste milieu pour ce qui est du reste de mes sentiments et de mes émotions.

~Votre Histoire ~ : (5 lignes mini)
C’est dans le village des vents qu’est établie le Clan des mercenaires communément appelé : « Les griffes blanches de Bonta ». Auparavant établie sur l’une des plus hautes montagnes de Canïa, le Clan à du migrer suite au Chaos d’Ogrest, et c’est ainsi qu’il trouva son bonheur dans le village des vents, place élever en altitude et aisément défendable contre tout ennemis potable. Le gouvernement de Bonta a signé un pacte de non-agression envers la nation, étant donné que le Clan habite sur leur territoire. Tout contrat relié à un Bontarien doit être refusé sur le champ et dénoncé majoritairement au gouverneur, s’ensuivant sans cesse un « contre-contrat », visant à retrouver et probablement tuer l’émetteur du contrat originale. Le Clan est divisé en plusieurs familles, mais nous allons nous concentrer uniquement sur l’une d’entre elle : Les Mélandrile.

Cette famille est assez étrange en soie. Les femmes sont Iop de mères en filles alors que les hommes sont Eniripsa de pères en fils. C’est alors les femmes qui font généralement les contrats de mercenariat et ce sont les hommes qui les soignent à leur retour si elles sont blessées. Mais ce qui est encore plus étrange, c’est que les femmes ne peuvent obtenir aucun pouvoir de la déesse Eniripsa, alors que les hommes ne peuvent pas recevoir de pouvoir de la part d’Iop. C’est encore une fois un mystère de plus qui entoure cette famille pour le moins…. Mystérieux, c’est le cas de le dire.

Durant quelques générations, cette famille ne se démarqua pas du tout des autres. Elle était même dans la moyenne, quelque chose que basique et de bien normal. Des contrats réussie, d’autre ratée, aucun exploit notable, rien de bien spéciale. Vînt le jour où un homme pris en charge cette famille : Sévérius Mélandrile. Une Eniripsa un peu plus grand que ses compères et qui en avait dans la tête, plus que la normal. Grâce à son intelligence, à son stratège, il réussit à remonter dans l’estime de toutes les autres familles la sienne, la mettant pas loin du premier rang des familles du Clan des griffes blanche de Bonta. Médecin hors-pair, il réussit à obtenir un contrat presque permanent de soin avec le gouverneur de la nation, obtenant ainsi beaucoup de privilège pour lui et son Clan.

C’est lorsqu’il était dans les hautes sphères de commandement du clan qu’il rencontra son grand amour, la jolie guerrière prénommer Annabella Tyrundlin, fervente et honorable combattante au nom du dieu Iop. Le coup de foudre fût instantané entre les deux amoureux et c’est alors qu’ils décidèrent de passer le reste de leur vie ensemble, dans les bras l’un de l’autre. Au cours des années qui suivirent, Sévérius soigna un nombre incalculable de fois sa femme qui revenait presque sans cesse de ses contrats, ensanglantée et blesser. Il faut dire qu’elle ne choisissait presque uniquement les contrats impliquant un duel ou un meurtre, qu’elle s’amusait généralement à tourner en un combat à mort équitable et honorable, dot elle sortit toujours vainqueur. Vînt le jour où Annabella fût gravement blesser à une jambe, l’obligeant à marcher désormais à l’aide de sa lance si elle ne voulait pas tomber sur le sol, sa jambe n’ayant plus du tout la force de soutenir son poids. C’est alors que les deux amoureux se sont dit que ce serait le temps pour fonder une famille, car Annabella serait désormais présente pour ses enfants, laissant bien malgré elle sa vie de guerrière implacable et imbattable.

De cette union naquît trois beaux enfants : Aïlodie, Myrianna et Cyril. Malheureusement pour le couple, le plus petit de leur enfant, Cyril, mourut en très bas âge. C’est alors qu’il ne leur restait que deux petites filles, dont l’une avait étrangement les deux sexes. Sévérius se pencha sur le cas de sa fille ainée, Aïlodie, pour tenter de comprendre pourquoi elle était née comme ça. À son grand dam, il ne trouva pas la réponse, lui laissant uniquement l’option de croire en sa déesse et au dieu de sa femme, qui ont doté leur fille d’un organe reproducteur mâle ainsi que d’un sexe féminin.

Les deux sœurs vécurent une enfance bien entourée. Leur mère était sans cesse présente pour elles et leur père prenait toujours le temps de les voir et de jouer un peu avec elles, malgré ses horaires bien chargé et son rôle important dans le Clan. C’est pour la première fois à l’âge de huit ans qu’Aïlodie leva la lance de sa mère. C’est dès lors, que dans son cerveau d’Iopette, son arme de prédilection fût acquise : La lance. Alternant entre les entraînements avec sa mère afin de manier son arme à la perfection et l’éducation intellectuelle donnée par son père, la petite guerrière en devenir grandit dans la force et l’endurance maternelle et dans l’intellect et le savoir paternelle. Grâce à son père, elle fût capable de passer outre les stéréotypes des Iop, c’est-à-dire le fait de ne pas avoir de cerveau.

C’est à dix-huit ans qu’elle obtenue son tout premier contrat, qui, malgré sa cicatrice au visage, se passa à merveille. Suivant les traces de sa mère, la guerrière usant des quelques pouvoirs terrestres accorder par son Dieu accomplie sans relâche les contrats à tendance duelliste et mortel, lui permettant de se tailler un nom dans le Clan et même obtenir le titre honorifique de « La griffe blanche de Bonta », accorder par les membres les plus influents des familles du dit Clan.

Ça fait désormais deux ans qu’elle combat aux côtés d’autres mercenaires de son Clan, prenant de plus en plus sa place de guerrière respecter, suivie tout de même de près de sa sœur cadette, Myrianna, qui ne semble pas vouloir laisser un titre aussi alléchant aux mains d’Aïlodie. Malgré tout, l’honneur est de mise entre les deux, et aucun coup bas n’est permis ou n’as été commis. C’est une bataille juste qui se passe entre les sœurs Mélandrile, au plus grand bonheur de leur mère, et majoritairement au plus grand malheur de leur père.

[ Il se peut qu'il y aie des ajouts au niveau de l'histoire.]

{ Vous }


~Votre Âge ~ : Je suis sur le point de changer de dizaine… Quand on est vieux…

~Votre Niveau de RP ~ : Débutant - Moyen –[ Bon] - Excellent

~Votre Présence sur le forum ~ : [] Tous les jours - [X] Toute la semaine - [] Tout le week-end et le Mercredi - [] Autre (précisez)

~Où avez-vous connu le forum ? ~ : [] Google (précisez le(s) mot(s) clé(s) utilisé(s)) - [] Top-site - [] Partenariat (précisez) - [] Un Membre (précisez) Ça se pose même pas comme question!

~Quelque chose à ajouter ? ~ :
À votre grand malheur, je suis de retour.
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MessageSujet: Re: La Griffe blanche de Bonta.   La Griffe blanche de Bonta. EmptySam 21 Avr - 7:27

Hey bien... franchement, rien à redire à cette fiche ! Je la trouve très bien.

Je serais ravie de te valider, j'attend juste un ou deux autres avis positif et l'avis d'au moins un autre admin et c'est good !
Bon retour. ^^
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Bridgess
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MessageSujet: Re: La Griffe blanche de Bonta.   La Griffe blanche de Bonta. EmptySam 21 Avr - 10:25

Je pense que l'on peut dire qu'il y a assez de lignes cat

Avis positif pour moi aussi.

Edit: Fiche acceptée, rebienvenue parmi nous Ailo' ^^
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MessageSujet: Re: La Griffe blanche de Bonta.   La Griffe blanche de Bonta. Empty

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